L'UEFA étudiera les incidents lors de la rencontre OL-Leipzig (2-2) le 27 février prochain, soit un jour après le 8e de finale aller de la Ligue des champions face à la Juventus, qui se disputera donc dans un stade plein.
L’OL pourra recevoir a Juventus dans un stade plein, le 26 février prochain en huitième de finale aller de la Ligue des champions. Menacé par de lourdes sanctions après les incidents qui ont émaillé la fin du match face au RB Leipzig (intrusion de supporters sur le terrain à l’issue du match, jets de projectiles), le club sera fixé plus tard sur son cas. L’UEFA a en effet annoncé que ces faits seront étudiés le 27 février, soit le lendemain du choc face à la Vieille Dame.
Une procédure disciplinaire a été ouverte et plusieurs charges ont été retenues: protection insuffisante de l'aire de jeu (Art. 40 SSR), lancer d'objets (Art 16 (2) DR), escaliers bloqués (Art. 38 SSR) et utilisation d'un pointeur laser (Art. 16 (2) DR). L’OL pourrait payer cher ces débordements puisqu’un match à huis clos avec sursis pèse au-dessus de sa tête.
Celui-ci pourrait être appliqué pour récidive puisque plusieurs charges retenues sont similaires à celles qui avait été sanctionnées lors d’un match de Ligue Europa face au CSKA Moscou en 2018 (la commission de discipline de l'UEFA avait sévi pour "lancements d'objets, déclenchements de feux d'artifice, troubles dans le stade, escaliers bloqués et un comportement raciste").
Le PSG également en commission de discipline
Le 27 février, la commission de discipline de l’UEFA examinera également le cas du PSG, pour des troubles lors du match face à Galatasaray. L’instance disciplinaire étudiera les charges de "déclenchement de feux d’artifice et d’escaliers bloqués" contre le club parisien alors que le club turc sera entendu pour "déclenchement de feux d'artifice, lancer d'objets, dégâts, et conduite inappropriée de l'équipe."