De nouveaux contacts ont eu lieu entre le Paris Saint-Germain et le FC Barcelone concernant Neymar. Les tractations semblent avancer.
Le dossier Neymar pourrait-il rapidement s’accélérer dans les jours qui viennent ? C’est en tout cas le souhait de toutes les parties, semble-t-il. D’un côté, le FC Barcelone sait que le temps joue en sa faveur, mais aimerait probablement l’incorporer à son effectif avant le début de la saison. Le joueur, lui, en a probablement assez de s’entraîner avec le Paris Saint-Germain qui, lui, pour le coup, aimerait pouvoir disposer des fonds pour accélérer sur son marché.
Ce n’est donc pas étonnant si l’info est sortie que l’Émir du Qatar, himself, aurait donné une deadline aux dirigeants catalans, qui auraient jusqu’au 31 juillet pour boucler l’opération. Si ce transfert n’était pas fait avant la date fatidique, il se pourrait que l’international brésilien, qui est actuellement en Chine avec le club francilien, continue au moins une année de plus son aventure dans l’Hexagone après deux saisons émaillées de blessure. Mais ce jeudi nous apprenons que le dossier avance.
Le Barça veut être sur qu’il est sur le marché
En effet, selon les informations de Sport, de nouveaux contacts ont eu lieu entre les dirigeants des deux formations. Josep Maria Bartomeu aurait demandé à Nasser Al-Khelaïfi de lui dire clairement quand Neymar serait en vente, ce qui est un secret de polichinelle, évidemment. Avec ce genre de mouvement, le président des Blaugranas joue la sécurité que ce soit auprès du Paris SG, avec qui les relations semblent compliquées, mais aussi avec les supporters.
Dans son papier, le média à tendances pro-catalanes explique aussi que le board est convaincu que le dossier tiendra tout le monde en haleine jusqu’à la fin de l’été et du mercato (le 2 septembre) et surtout que l’issue est absolument incertaine. C’est aussi pour cela que les Barcelonais ne comptent pas se ruer sur l’occasion et imaginent que tout va se décanter dans les prochains quand Neymar sera officiellement sur le marché, ce que Leonardo a déjà avoué à demi-mot.